LETTERATURA CAPRACOTTESE
GARE DI SCI A CAPRACOTTA
Istituto Nazionae Luce (1929)
"Gare di sci a Capracotta"
GARE DI SCI A CAPRACOTTA
Istituto Nazionae Luce (1929)
"Gare di sci a Capracotta"
IL RATTO DI BECKENBAUER
Flop TV (2009)
"La villa di lato"
di Maccio Capatonda (1978)
IL RATTO DI BECKENBAUER
Flop TV (2009)
"La villa di lato"
di Maccio Capatonda (1978)
IL RATTO DI BECKENBAUER
Flop TV (2009)
"La villa di lato"
di Maccio Capatonda (1978)
IL RATTO DI BECKENBAUER
Flop TV (2009)
"La villa di lato"
di Maccio Capatonda (1978)
VIRGILIO JUAN
CASTIGLIONE
Le arie popolari musicate da artisti capracottesi
NUNZIO
BACCARI
(1666-1738)
ALFONSO
FALCONI
ALFONSO
FALCONI
ALFONSO
FALCONI
NUNZIO
BACCARI
(1666-1738)

MÉMOIRES
di Władysław Anders (1892-1970)
Le séjour du 2e corps polonais en hiver aux bords du Sangro, dans un terrain montagneux, fut pour nos soldats, en grande partie, une période d'entraînement. L'activité de combat consistait à effectuer des patrouilles et des coups de main, qui duraient parfois plusieurs jours, ce qui mettait à l'épreuve l'endurance des soldats, en les aguerrissant. Le plus gros effort était consacré aux travaux de fortification et au déblaiement des routes. Les tourmentes de neige, coupées de pluies et de gel, entravaient certains centres ou postes de défense. Pour se rendre compte de l’ampleur des chutes de neige, il suffit de mentionner l'épisode d'un convoi de muletiers qui fut enseveli aux environs de Pescopennataro et dont une partie seulement put être sauvée.
Les travaux de fortification consistaient à améliorer les positions de défense et les points d'observation, à poser des mines, des pièges et des obstacles, ainsi qu’à protéger les câbles téléphoniques. Nous construisions aussi des abris pour les postes de commandement et pour les centrales téléphoniques. Un gros effort fut accordé à la reconstruction des routes et à l'amélioration des communications.
Les opérations de patrouilles, secondées par l'artillerie, nous donnèrent, en peu de temps, une supériorité sur l'ennemi, ce qui nous permit de dominer complètement le «no man's land», car les Allemands réduisirent très rapidement leur activité du début.
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W. Anders, Mémoires (1939-1946), trad. di J. Rzewuska, La Jeune Parque, Paris 1948, pp. 303-304.